Le fluor, une des plus grandes erreurs du XXe siècle Pour les jeunes mères, donner du fluor à leur nourrisson a longtemps été une évidence. Ce n’est qu’en novembre dernier que l’AFSSAPS a mis fin à cette recommandation visant en principe à prévenir les caries. Pourtant, en toxicologie, le fluor et les fluorures sont considérés comme des agents toxiques, au moins autant que le mercure. Les homéopathes le savent d’ailleurs depuis longtemps. Trop de fluor entraîne la fluorose. Les premiers signes sont dentaires : des taches blanches puis brunâtres et indélébiles apparaissent. La minéralisation des dents est perturbée, l’émail devient poreux… Dans les formes mineures d’intoxication, seule l’esthétique de la dent est touchée. Dans des cas plus sévères, c’est la fonction dentaire qui est elle-même remise en cause. Même en l’absence de tout autre signe, l’organisme est intoxiqué dans son ensemble, les os notamment qui, malgré une densité élevée, cassent plus facilement. Selon les homéopathes, la toxicité du fluor est bien plus grande encore. Elle pourrait se transmettre au foetus et être responsable chez lui de troubles majeurs de la statique vertébrale visibles dès la naissance, de malformation de la boîte crânienne, de calcifications tendineuses et de paquets variqueux.
Source : septembre 2009 • hors-série n° 25 pratiques de santé