mercredi 26 mars 2014

Saguenay rouvre le débat



(Chicoutimi) Le sujet de la fluoration de l'eau à Saguenay risque de provoquer des débats houleux. Quelques jours après que le Ville ait annoncé la formation d'un comité d'analyse chargé d'étudier la question, des citoyens réfractaires au projet ont déjà commencé à se manifester.











Au terme de la dernière séance du conseil d'arrondissement de Jonquière, la conseillère Julie Dufour a été questionnée à ce sujet par un contribuable. Julie Dufour a récemment été nommée par le maire Jean Tremblay au nouveau comité de travail. Il en va de même pour sa collègue Josée Néron, qui devait en assumer la présidence. Mariée à un dentiste, la représentante de l'Équipe du renouveau démocratique (ERD) s'est toutefois retirée pour éviter de se placer en situation de conflit d'intérêts.
Julie Dufour a elle-même manifesté son désir de s'impliquer lorsqu'elle a constaté que la fluoration figurait à l'ordre du jour de l'assemblée publique du 3 mars.
«Comme citoyenne, je suis interpellée par ce sujet et j'ai signifié mon intérêt. Personnellement, j'ai déjà une position là-dessus, mais je tenais à avoir toute l'information. Des citoyens m'ont aussi questionnée pendant la campagne», fait-elle valoir.
La conseillère de Shisphaw ignore ce qui a motivé Saguenay à rouvrir le débat. Il faut savoir que le maire Jean Tremblay s'est positionné en faveur de la fluoration il y a trois ans. Il avait d'ailleurs annoncé l'ajout imminent de fluor au réseau municipal d'eau potable en 2010, un projet entièrement financé par Québec, avant de faire volte-face devant une levée de boucliers citoyenne. Le dossier est par la suite tombé au point mort, jusqu'à ce que la ville de Trois-Rivières se prononce en faveur de la fluoration le 4 février dernier. La position des élus trifluviens a ravivé la flamme pro-fluoration à Saguenay. Selon nos informations, une citoyenne a écrit au maire Tremblay le 17 janvier pour lui demander de relancer les démarches. Le comité exécutif a nommé un fonctionnaire au dossier. S'en est suivie la décision de mettre en place un groupe de travail composé, entre autres, d'élus.
Sur Facebook, les administrateurs de la page «Contre la fluoration de l'eau: sensibilisation région Saguenay» ont réagi à la publication d'un texte dans Le Quotidien de jeudi.
«Oui, vous avez bien lu, il y a de nouveau un comité de la fluoration à Saguenay! Je vous l'avais bien dit qu'on nous ne (sic) laisserait pas tranquilles», était-il possible de lire sur le Web. Ce commentaire a provoqué de vives réactions.
La conseillère Dufour ignore si la présidence du comité d'analyse sur la fluoration de l'eau lui sera confiée, vu l'abstention de Josée Néron. Elle affirme n'avoir reçu aucune correspondance à ce sujet depuis le conseil du 3 mars. Rappelons qu'une commission parlementaire instaurée par Québec l'an dernier a émis des recommandations favorables au sujet de la fluoration, une pratique recommandée par les autorités de santé publique afin de contrer la carie dentaire.

Fluoration à Trois-Rivière: «Le débat est clos»


Les citoyens qui souhaitaient, lundi soir, prendre la parole au sujet de la fluoration de l'eau potable lors de la séance publique du conseil de ville se sont plutôt heurtés à un mur. Le maire Yves Lévesque a fait savoir à l'assemblée que désormais, il ne répondrait à aucune question sur ce sujet et que le débat était désormais clos.

lundi 14 novembre 2011

Eau Courant aurait souhaité un vrai débat


Eau Courant, le comité de citoyens qui est contre la fluoration de l’eau à Mont-Joli, aurait souhaité être partie prenante de la séance d’information qui aura lieu lundi soir, en présence du directeur de la santé publique du Québec, Alain Poirier. 

Selon la porte-parole de ce comité, Maryse Plante-Couture, « la Ville refuse la tenue d'un débat véritable. Eau Courant aurait du faire partie de cette séance d'information sur la fluoration si le conseil voulait vraiment avoir tous les éléments autant positifs que négatifs, afin de prendre une décision éclairée ». 

« La population a pu entendre les arguments de la santé publique à maintes reprises par des articles dans les journaux locaux et des entrevues médiatisées. Nous aurions aimé avoir le même temps de parole que le Dr Poirier et de faire valoir notre point de vue lors de cette séance » ajoute madame Plante-Couture. 

Maryse Plante-Couture réplique aussi aux affirmations du maire selon qui « on a entendu toutes sortes de faussetés sur le fluor comme par exemple qu’il provient de cheminées ou d’industries, et c’est complètement faux.» 

«S'il avait pris le temps de s'informer, dit-elle, il aurait pu trouver dans le document Fluoration de l’eau : Analyse des bénéfices et des risques pour la santé, de l'institut de santé publique du Québec à la page 17 que: «Ils ne sont pas dérivés de l'industrie de l'aluminium, mais plutôt de l'industrie des phosphates.» Aussi, L’Environmental Protection Agency des États-Unis affirme que :«la récupération des fluorures est faite comme mesure de contrôle de la pollution». 

Il est entendu, conclut sa porte-parole, que le comité Eau Courant sera présent à cette séance et invite toutes les personnes ayant signé ou non la pétition à faire venir entendre leurs voix. 

SONIA LÉVESQUE,  le 18 octobre 2011

 

INN: émission spéciale sur le fluor


INN: émission spéciale sur le fluor S/T par hussardelamort

Fluor: le fardeau de la preuve appartient au ministère soutient Gilles Parent


Fluor: le fardeau de la preuve appartient au ministère soutient Gilles Parent

Le naturopathe Gilles Parent, coauteur du livre « La fluoration : autopsie d’une erreur scientifique », a fait parvenir aux médias une libre opinion sur le débat sur la fluoration de l’eau potable à Mont-Joli. 

Le débat de la fluoration fait rage à Mont-Joli. Il n’est guère facile autant pour la population en général que pour les journalistes de discerner qui dit vrai. D’un côté, les autorités de la santé affirment que la fluoration est une mesure de santé publique efficace et sécuritaire alors que les opposants, tout aussi sérieux, affirment exactement le contraire.

« Mon coauteur Pierre-Jean Morin, Ph. D en médecine expérimentale, ancien directeur de la recherche à l’hôpital Laval et ancien conseiller du ministère de l’Environnement sur les fluorures et moi travaillons sur ce dossier depuis 40 ans.

Dernièrement, nous avons fait une série de demandes d’accès à l’information et trois pétitions (genre de demandes d’accès à l’information) sous l’égide du Commissaire à l’environnement au bureau du Vérificateur général du Canada afin de connaître la nature légale des produits chimiques servant à la fluoration de l’eau potable.

Nous visions aussi à savoir comment et par qui la gestion et les contrôles sur ces produits étaient assurés pour assurer la protection de la santé publique. Santé Canada a finalement avoué, étant forcé par la loi du Vérificateur général du Canada, que les produits de fluoration n’étaient que de simples produits chimiques de traitement de l’eau potable et qu’il n’exerçait aucun contrôle et aucune surveillance sur les produits chimiques de fluoration Les produits ne sont pas homologués par Santé Canada malgré leurs actions thérapeutiques et préventives contre la carie dentaire.

L’élément  le plus inquiétant est le fait qu’aucun test de toxicologie d’une exposition chronique n’est effectué sur ces produits. Or, il est scientifiquement  impossible de déterminer l’innocuité, donc la sûreté, de ces produits sans effectuer ces tests de toxicologie d’une exposition chronique et d’en faire une analyse.

Ces tests de toxicologie d’exposition chronique sont nécessaires autant pour un médicament que pour un produit de traitement de l’eau, et aucun organisme, incluant la National Sanitation Foundation, ne s’est assuré d’effectuer ces tests et, pour les produits chimiques de traitement de l’eau potable à la norme « Standard 60 » exige absolument ces tests de toxicologie.

Ni Santé Canada, ni le ministère de la Santé et des Services sociaux, ni les Agences de la santé publique du Québec, ni le Laboratoire  national de santé publique du Québec, ni le ministère du Développement durable, de l’Environnement  et des Parcs, ni les municipalités  n’ont été en mesure de fournir ces tests de toxicologie. L’article 7 du Règlement sur l’eau potable exige que les produits  chimiques de traitement de l’eau potable soient conformes à la norme « Standard 60 ». Sans les tests, ils ne le sont pas, par conséquent, les produits chimiques de fluoration contreviennent à la Loi et ses règlements sur l’eau potable. Ce qui est grave, c’est que sans ces tests, on met littéralement la santé de la population à risque parce que les preuves de leur innocuité ne sont tout simplement pas démontrées. Une telle situation est légalement inacceptable.

Lors de la présentation de la Direction de la santé publique, j’ai demandé, au nom d’Eau courant, au docteur Poirier, si le ministère avait des tests de toxicologie requis, il a retourné la question en disant que nous devrions les faire. Une telle réponse est insultante et irresponsable. Le docteur Poirier devrait savoir que la responsabilité légale et morale appartient entièrement au ministère, d’autant que c’est le ministère qui cherche à imposer la fluoration, que c’est le ministère qui prétend que la fluoration est sécuritaire et que le respect de la loi le requiert.

Faut-il accepter que les autorités  de la santé se permettent de contrevenir aux lois et qu’en plus ils mettent la santé de la population, incluant les enfants, à risque alors qu’il est de leur fonction et de leur devoir d’en protéger la santé ? Les faits que nous avons pu obtenir sont tellement incroyables que le doute scientifique est compréhensible, vous n’avez qu’à consulter les pétitions 299, 299A et 299B et les réponses de Santé Canada pour en vérifier la véracité. »
 

Comment un comité d'éthique peut-il déraper à ce point?


(Extraits du document "Avis sur un projet de fluoration de l'eau potable", du Comité d'éthique de santé publique, publié en juin 2011 par l'Institut national de santé publique du Québec, disponible ici: http://www.inspq.qc.ca/pdf/publications/1278_ProjetFluorationEauPotable.pdf)

2.2 FORMULATION DU PROBLÈME ÉTHIQUE

2.2.1 La question retenue par le Comité 

Le Comité s’est saisi d’une question qui recoupe quelques-unes des préoccupations et l’une
des questions posées par les demandeurs quant à la légitimité de la mesure considérée. Voici
la question qu’a retenue le Comité : 

Par souci de santé publique, peut-on imposer, à l’encontre de la volonté d’une partie de la
population, la fluoration de l’eau potable dans les municipalités québécoises de 5 000
habitants ou plus, afin de réduire la carie dentaire dans l’ensemble de la population,
notamment auprès des enfants et des populations les plus défavorisées de notre société? 

2.2.2 La définition, l’ordonnancement et la discussion des valeurs en présence
Le Comité échafaude son avis en identifiant et en ordonnançant les principales valeurs
interpellées par le cas considéré. Voici les valeurs et leur définition respective (en ordre
alphabétique), comme identifiées par le Comité : 

• Autonomie : capacité de faire des choix pour soi-même.
• Bienfaisance : volonté d’améliorer la santé de la population, entre autres celle des enfants
provenant de milieux socioéconomiquement défavorisés.
• Justice sociale et équité : équilibre dans la répartition des ressources, en fonction des
besoins des personnes concernées, dans le but de réduire les inégalités sociales de santé.
• Liberté de choix : exercice de ses choix sans contraintes.
• Non-malfaisance : volonté de ne pas causer des problèmes de santé.
• Participation citoyenne : place accordée à l’implication de la population dans le processus de
décision.
• Responsabilité : volonté d’agir en fonction des tâches et mandats confiés (responsabilité
institutionnelle).
• Respect de l’environnement : importance accordée à la protection des milieux naturels.
• Transparence : action de rendre accessible l’information permettant de comprendre la prise
de décision.

(...)

3 LA RÉPONSE DU COMITÉ À LA QUESTION RETENUE 

En réponse à la question examinée, le Comité d’éthique de santé publique trouve légitime, d’un
point de vue éthique, qu’une mesure puisse obliger la fluoration de l’eau potable dans les
municipalités québécoises de 5 000 habitants ou plus, afin de réduire la carie dentaire, en
particulier chez les enfants et les populations socioéconomiquement défavorisées. Le Comité
considère que cette mesure est légitime dans la mesure où elle respecte les valeurs de nonmalfaisance et de respect de l’environnement explicitées dans l’avis. Des pistes permettant
d’atténuer les conséquences négatives d’une telle mesure sur la liberté des personnes sont
présentées.

jeudi 30 juin 2011

Le problème de la fluoration de l'eau au Québec

 Même si la fluoration de l’eau soulève des questions éthiques, notamment celles du principe de précaution et du libre choix, et même si elle contrevient à la Charte des droits et libertés, la Direction de santé publique (DSP) fait actuellement pression sur les villes du Québec pour fluorer au moins 50% de la province d’ici cinq ans. Ces pressions sont faites en dépit des protestations de nombreux citoyens informés ou tout simplement inquiets qui défendent le droit à une eau saine pour tous.

Actuellement, le gouvernement du Québec n’impose pas la fluoration aux municipalités, mais la DSP s’efforce de convaincre les élus d’adopter la fluoration, tout en s’engageant à défrayer les coûts rattachés. Toutefois, la DSP évite soigneusement d’engager un débat public sur la question et reste intentionnellement muette sur les effets potentiellement néfastes du fluor. Sans débat, leur démarche manque de transparence. Et lorsqu’une ville commence à fluorer l’eau, les citoyens se trouvent devant un fait accompli.

À l’issue d’un long débat, Québec a mis fin à la fluoration de l’eau en avril 2008. Depuis, la proportion de Québécois buvant de l’eau fluorée est passée de 6% à seulement 3%. Au début de 2009, Longueuil a dit non à la fluoration et des citoyens ont commencé à poser des questions à Beaupré, Gatineau, Ste-Marie de Beauce et Lévis. Trois-Rivières venait alors tout juste de cesser de fluorer, en attendant de remplacer son système de fluoration rendu désuet. Le temps est venu pour les trifluviens de remettre en question cette mesure insensée et controversée. Depuis, Richmond a déjà entamé la fluoration de son eau. Et voilà que le Maire de Saguenay vient d’annoncer subitement que sa ville serait fluorée, peu importe les objections des citoyens, et ce pour la simple et bonne raison que le gouvernement paie la totalité des frais encourus. Le débat est toujours en cours, malgré l’entêtement du Maire qui semble résolu à suivre la recommandation de la DSP dans ce dossier.

À travers le monde, il n’y a aucun consensus sur la fluoration. Montréal, Vancouver et 98% de l’Europe ont rejeté la fluoration et contrairement à ce qu’affirme la direction de la santé publique (DSP), l’Allemagne et Suède l’ont interdit !

L’efficacité de la fluoration à prévenir la carie, tout comme la science sur laquelle elle se base, sont douteuses, car les données de l’OMS montrent que la carie a diminué pareillement dans l’ensemble des pays industrialisés, fluorés ou non. Au Canada, une étude de l’Association dentaire canadienne montre que la Colombie-britannique, la province la moins fluorée, affiche le plus faible taux de carie au pays. (Gray 1987, Fluoridation: Time for a New Base Line? Journal of the Canadian Dental Association. 10: 763-765.) De son côté, la DSP affirme que la fluoration réduit la carie de jusqu’à 60%. L’OMS dit 15%, le CDC dit 18% et le rapport ontarien Locker (1999) dit 0%. Qui a raison ?

La fluoration est également associée à une longue liste de problèmes de santé. Le rapport du Conseil national de recherche (NRC, 2006), l’autorité scientifique suprême aux États-Unis, établit la liste de divers troubles de santé causés par la fluoration: augmentation du taux de fracture des os, de dommages aux dents et aux articulations (arthrite). Le NRC indique également que l’eau fluorée est possiblement liée à des troubles neurologiques (QI réduit chez les enfants, démence, syndrome de Down, maladie d’Alzheimer), du système endocrinien (glandes thyroïde et pituitaire), du système immunitaire (moelle des os, où sont produites les cellules immunitaires), du système digestif, de l’appareil génital, des organes internes (foie et reins), et qu’elle pourrait exacerber les effets combinés de l’aluminium et du fluorure, de même que le diabète et le cancer.
D’autre part, selon l’expert de la DSP, le Dr Lévy, les risques pour la santé « concernent plutôt les très jeunes enfants de trois ans et moins, qui peuvent développer de la fluorose. Ce sont des taches blanches qui apparaissent sur les dents, par exemple lorsque ces enfants avalent du dentifrice » Or, le ministre Couillard affirme qu’« il n’est pas exact de dire qu’il existe des risques associés ». Qui a raison?

La Loi canadienne sur la protection de l’environnement classe le fluorure comme produit chimique « persistant », « biocumulatif » (qui s’accumule dans l’organisme) et « toxique ». Environnement Canada le classe comme « déchet dangereux » et Transport Canada, en tant que « marchandise dangereuse » ! C’est pourquoi, avant même de débattre des pour et des contre de cette mesure, il importe de souligner que fluorer l’eau implique de forcer les gens à ingérer une substance toxique sans leur consentement éclairé. C’est un précédent inquiétant qui nie les droits humains fondamentaux, notamment le libre choix d’être médicamenté ou non.

C’est dans cette optique que des citoyen-ne-s, des experts, ainsi que des groupes sociaux et environnementaux ont formé en 2006 Le Front commun pour une eau saine (FCES) afin de prévenir et bannir la fluoration de l’eau potable au Québec. Une telle démarche s’inscrit au coeur d’un effort collectif visant à obtenir une eau de consommation saine pour tous.

Auteur: David Veilleux
Pour en savoir plus, veuillez svp consulter le site web d’information Action Fluor Québec, associé au FCES: www.qvq.ca/afq

Contact :
• Action Fluor Québec : info@qvq.ca
• Monsieur Gilles Parent, expert du FCES : (514) 747-2259
• Les AmiEs de la Terre de Québec : (418) 524-2744, info@atquebec.org
• Coalition Eau Secours! : Martine Ouellet, courriel

jeudi 23 juin 2011

EAU COURANT dépose sa pétition contre la fluoration de l'eau à Mont-Joli

 Publié le vendredi, 03 juin 2011- par Roger Boudreau


 EAU COURANT  déposera lundi à la séance régulière du conseil municipal, la pétition  contre la fluoration de l’eau potable à Mont-Joli.

Le comité a distribué à la population un dépliant de sensibilisation et lui a présenté la pétition demandant  au maire de Mont-Joli, Jean Bélanger de ne pas fluorer l’eau potable de la municipalité.

Dans ses démarches, EAU COURANT,  présidé par madame Maryse Plante-Couture, et qui compte une trentaine de membres, reçoit depuis le début l’appui  de la Coalition québécoise pour une gestion responsable de l’eau, EAU SECOURS.

La Coalitionet le comité mont-jolien  EAU COURANT  réitèrent que le choix de la fluoration de l’eau doit être celui de la population et non celui d’un conseil municipal.

Il avait été question au départ que la présidente d’EAU SECOURS,  madame  Martine Châtelain, se  déplace à Mont-Joli pour déposer elle-même la pétition mais il semble maintenant que c’est bel et bien la présidente du comité local, madame Maryse Plante-Couture, qui assumera ce rôle.

Le dépôt de la pétition se fera à la fin de l’assemblée du conseil municipal, après la période des questions.

La séance du conseil municipal a toujours lieu à 20h30.

Le débat fait rage à Moncton


MONCTON, 9 juin 2011 - Des chaises ont été ajoutées et des gens ont même dû rester debout, hier, alors que les élus de Moncton ont entendu l’opinion des citoyens sur la fluoration de l’eau de la municipalité.

À Moncton, le fluorure est présent dans l’eau potable depuis la fin des années 1960. Une quantité de 0,7 mg par litre d’eau est consommée non seulement par les résidants de la municipalité, mais aussi par ceux de Dieppe et de Riverview, dû au fait qu’ils utilisent le même système d’aqueduc.
L’incorporation de cet acide qui coûte environ 100 000 $ à la Ville par année est censée contribuer à la bonne santé dentaire de tous.
Même si des études confirment cet effet, d’autres semblent plutôt démontrer que la fluoration de l’eau est nocive pour la santé.

(source: http://www.capacadie.com/actualites-regionales/2011/6/9/le-debat-fait-rage-a-moncton)

vendredi 18 mars 2011

Spectacle Eau Secours à Montréal


La Coalition québécoise pour une gestion responsable de l’eau – Eau Secours! vous invite à son prochain spectacle bénéfice Ensemble Pour que l’eau vive! Sans fluor, Sans gaz de schiste, Sans pollution qui aura lieu le 22 mars 2011 à 19h au Club Soda (1225, boul. St-Laurent).
Le spectacle qui marquera la journée mondiale de l’eau sera animé par Pauline Martin avec des prestations des Cowboys Fringants, Catherine Durand, Paul Piché, les Zapartistes et Alecka.
Un encan silencieux d’œuvres d’artistes se tiendra sur place le soir même. Richard Séguin, Raôul Duguay, Marc Nantel et Sue-Ann Pham (de la griffe « Ma Concubine ») ont donné généreusement des œuvres pour l’encan.
Eau Secours! est née en 1997, suite à une menace de privatisation des infrastructures municipales de l’eau de la ville de Montréal par une multinationale française. Heureusement, la mobilisation des citoyennes et des citoyens fût tellement grande et spontanée que les élus municipaux et provinciaux et la multinationale n’ont pu que reculer devant ce barrage humain. Le travail effectué depuis ces 14 dernières années a pu être possible grâce à la synergie de centaines de bénévoles, artistes, scientifiques, vulgarisateurs, comités de citoyens et ce, partout au Québec. La Coalition compte maintenant parmi ses membres 273 groupes, 1700 membres individuels et 83 Porteurs et Porteuses d’eau.
Bien que forte de ce soutien, Eau Secours !, considéré comme l’un des principaux groupes de pression en matière d’eau au Québec, fonctionne avec peu de moyens et a besoin d’appui pour continuer à défendre la justice sociale et les intérêts présents et futurs de chaque Québécoise et Québécois: l’eau, source de vie. En effet, de nombreux dangers en menacent l’accessibilité et la qualité: les diverses formes de pollution, l’exploration et l’exploitation des gaz de schiste, la fluoration de l’eau potable, l’épuisement des nappes phréatiques par l’embouteillage massif, l’exportation en vrac de l’eau, la privatisation, la baisse du niveau de l’eau du Fleuve Saint-Laurent et autres. Il est donc important de continuer à assurer la présence d’Eau Secours! dans le domaine des luttes pour l’eau.
Les billets pour ce spectacle bénéfice sont en vente dès maintenant à Eau Secours! et au Club Soda au coût de 30 $ l’entrée générale et 15 $ pour les enfants (entre 7 et 16 ans).
Billetterie : Eau Secours!: (514) 303-2212 ou webmaster@eausecours.org
Club Soda : (514) 286-1010 ou www.clubsoda.ca

samedi 19 février 2011

Fluor – la fin d’un dogme?


Dès qu’on parle de fluor, deux clans s’opposent farouchement. D’un côté, les partisans affirment que la fluoration de l’eau sauve des caries. De l’autre, les opposants soutiennent que la preuve de son efficacité dans l’eau n’est pas concluante et que la toxicité du fluor est réelle et a été sous-évaluée. Mais qui dit vrai?

Un peu d’histoire

Au début des années 90, une étude dans la région de Trois-Rivières semble montrer que le fluor est bénéfique. Par contre, un facteur important n’a pas été pris en considération: le statut socioéconomique. En effet, le groupe sans fluor provient d’un milieu défavorisé, alors que le groupe avec fluor provient d’un milieu plus aisé.(1)
Consultez aussi une lettre de Dr Louis Gauthier, dentiste, qui s’oppose, en novembre 2003, à la fluoration de l’eau à Québec.(2) Il y livre les résultats de ses recherches sur la toxicité et l’inutilité du fluor. (Notez que la ville de Québec a mis fin à la fluoration de l’eau en avril 2008.)

Une nouvelle revue de documentation

Jeff Prystupa propose une revue exhaustive de la documentation concernant la toxicité du fluor et des fluorures sur la santé humaine et sur l’environnement.(3)

Fluorose dentaire

Il montre un lien entre la fluoration et le développement de la fluorose dentaire. La fluorose est l’apparition de taches blanches sur l’émail des dents. Longtemps perçue comme un simple problème esthétique, la fluorose affaiblirait en fait l’émail et le rendrait plus susceptible aux caries.

Fractures

L’accumulation du fluor dans les os peut augmenter les fractures. En effet, le fluor s’accumule dans les os, mais le risque de fractures est fonction de la dose et de la durée d’exposition. Plusieurs mentionnent que l’eau fluorée à 1mg/litre serait sécuritaire, mais c’est sans compter la consommation de certaines personnes qui boivent beaucoup plus d’eau du robinet que d’autres. En Finlande, on calcule que le risque de fracture augmente dès que la concentration atteint 1,5mg/litre.

Santé dentaire

Le plus éloquent, à mon avis, dans cette très longue étude de 68 pages, est un graphique qui compile les données de l’OMS sur la santé dentaire par rapport à la fluoration de l’eau. On y constate une amélioration de la santé dentaire et une réduction du nombre de caries dans tous les pays. Cependant, quand on compare les pays qui fluorent l’eau (USA, Irlande, Australie, Nouvelle Zélande) aux autres pays, il est impossible de démontrer une quelconque amélioration de la santé dentaire secondaire à la fluoration de l’eau!(4)

Autres maladies

M. Prystupa va plus loin en montrant plusieurs liens entre la consommation du fluor et des troubles de la thyroïde, du foie, des reins, des problèmes nerveux et cognitifs, certains cancers, etc. La démonstration qu’il fait est très bien supportée. Il conclut que le fluor, surtout à cause de son affinité pour le calcium, n’a pas sa place dans les systèmes biologiques. D’ailleurs, le fluor n’est pas un élément essentiel à la santé: aucune voie métabolique ne dépend du fluor.(5) L’analyse risque bénéfice n’a jamais été effectuée convenablement, surtout en considérant que le fluor qu’on ajoute à l’eau n’est pas un sel de fluor purifié, comme celui des pâtes à dents, mais bien un silicate de fluor, c’est-à-dire un sous produit des industries des engrais et de l’aluminium.
Alors, qu’en pensez-vous? Fluor ou pas?
Références:
3. Prystupa J. Fluorine?A current literature review. An NRC and ATSDR based review of safety standards for exposure to fluorine and fluorides. Toxicol Mech Methods. 2011 Feb;21(2):103-70. PubMed PMID: 21288074.
4. Tooth Decay Trends: Fluridated vs. Unfluridated CountriesWHO Oral Health Country/Area Profile Programme

lundi 31 janvier 2011

Professor Paul Connett: Your Toxic Tap Water - FULL LENGTH

Réaction suite à l’article Le Maire Tremblay songe toujours à la fluoration



La Coalition québécoise pour une gestion responsable de l’eau – Eau Secours! 


LBR.ca - Montréal, le 12 janvier 2011 – La Coalition québécoise pour une gestion responsable de l’eau – Eau Secours! souhaite réagir suite à l’article Le Maire Tremblay songe toujours à la fluoration, paru dans le journal le Quotidien du 11 janvier 2011.
Eau Secours! est d’accord avec le maire sur le fait que c’est au gouvernement du Québec de se positionner sur ce dossier et non aux municipalités. Par contre, la Coalition aimerait une position du gouvernement du Québec qui interdit la fluoration pour l’ensemble du territoire. 
Selon Martine Chatelain, présidente d’Eau Secours!, « Le Maire Tremblay parle dans cet article d’obtenir une majorité d’appui de la population pour commencer à fluorer l’eau potable, mais depuis l’an passé il n’y a pas eu d’évolution dans le débat et à ce moment là, l’accord de la population n’était pas du tout acquis. Pourquoi cela aurait-il changé aujourd’hui? » 
La Coalition Eau Secours! s’oppose à la fluoration de l’eau potable des aqueducs, car elle s'inquiète de l’impact sur la santé et des risques de pollution de l'eau à grande échelle par ce produit toxique. La BrochurePour une eau sans fluor a été envoyée au maire et aux conseillers de la ville de Saguenay pour les informer des risques et de l’inutilité de la fluoration.
Eau Secours! invite les citoyennes et les citoyens de Saguenay qui sont en désaccord avec la fluoration de leur eau et qui veulent défendre leurs droits, à écrire à leurs élus et aux médias afin de faire entendre leur position, car c’est leur santé et leur environnement qui sont en jeux.
Pour commander la Brochure Pour une eau sans fluor et pour demande d’entrevue ou de conférence : Isabel Perron au             514-303-2212      

Un an plus tard : Jean Tremblay continue de prôner la fluoration de l'eau potable malgré l'opposition citoyenne


Il y a près d'un an, le texte "La fluorisation de l'eau potable au Saguenay peu importe l'avis des citoyen-ne-s" était publié sur ce blogue pour souligner la volonté avouée du Maire Jean Tremblay d'aller de l'avant, avec seulement l'approbation du Conseil exécutif de la ville, dans le dossier de la fluoration de l'eau potable de Ville de Saguenay et ce, malgré toute l'opposition citoyenne rencontrée à ce projet. Alors que le maire refusait alors tout débat public à l'Hôtel de ville sur la question et que les choses n'ont guère avancé depuis, nous pouvions hier apprendre, dans l'article "Le Maire Tremblay songe toujours à la fluoration" du Journal Le Quotidien, que notre cher monarque comptait , par on ne sait quel tour de magie obscur, obtenir l'appui de la majorité de la population pour la fluoration de notre eau, mais que ce devrait être au gouvernement du Québec de se prononcer sur la question et non aux municipalités.


Doit on rappeler que des craintes raisonnables et sérieuses sont soulevées par les citoyen-ne-s de la ville, comme dans de nombreuses autres au Québec, et que les soi-disant bienfaits pour la santé dentaire sont un argument très mince pour défendre l'ajout d'un produit toxique potentiellement nocif pour la santé générale des citoyen-ne-s. En Ontario, où 60% de l'eau potable est fluorisée, il n'y a pourtant pas moins de caries dentaires observées. De plus, en revanche, la Coalition québécoise pour une gestion responsable de l’eau – Eau Secours! observe qu'une sur-dose de fluorure peut causer la fluorose dentaire et le cancer des os. Que les autorités nous laissent donc le droit de refuser, c'est notre santé dont il est question. Il y a des moyens beaucoup plus économiques pour nous occuper de notre santé dentaire comme diminuer notre consommation de sucre et se brosser les dents régulièrement. Et si le gouvernement (qui offre du fluor gratuitement aux municipalités) souhaite vraiment investir pour notre santé (et non remplir les poches des ami-e-s du Parti), pourquoi ne mise t-il pas sur une politique de gratuité des soins dentaires jusqu'à l'âge de 18 ans? Simple question de "gros bon sens"!

source: http://ucl-saguenay.blogspot.com/search/label/Maire%20Jean%20Tremblay

mardi 26 octobre 2010

Fluoration: cours 101 pour dentistes

À la suite de la publication de la lettre d'opinion « Fluoration: ramener le débat aux faits » signée dans le Nouvelliste du 21 août par 6 dentistes de Trois-Rivières

Gilles Parent vous propose sa réponse - Fluoration: cours 101 pour dentistes 

- / LBR.ca / - Il ne semble pas que les dentistes de la Société dentaire de la Mauricie aient suivi les cours 101 requis sur l’éthique, sur la légalité et sur la méthodologie scientifique car autrement ils ne supporteraient pas la fluoration de l’eau de Trois-Rivières.



Avant de recommander l’ajout d’agents de fluoration à l’eau, tout dentiste responsable devrait vérifier si ces fluorures aux allégations thérapeutiques de prévenir la carie ont :




1. subit les tests de toxicologie requis pour une homologation de Santé Canada comme médicaments ou comme produits de santé naturels,

2. été distribués par des fournisseurs qui ont une licence de manufacturier accordée par Santé Canada,

3. reçu une attestation des fournisseurs garantissant leur innocuité et leur efficacité,

4. subit les tests de conformité pharmaceutique sur chaque lot pour en assurer la qualité et en vérifier la contamination,

5. été sujets à l’évaluation de leur efficacité et de leur innocuité par plusieurs études en double aveugle, croisées et contrôlées,

6. Obtenu une homologation de Santé Canada et un numéro d’identification de médicaments (DIN) ou de produits de santé naturels (NPN) apposé sur l’étiquette du produit,

7. été préparés à l’usine de filtration de la municipalité sous la surveillance d’un pharmacien dans un établissement détenant une licence de pharmacie accordée par l’Ordre des pharmaciens du Québec (Loi de la pharmacie),

8. été prescrits et administrés a des individus par un professionnel de la santé compétent qui connaît bien leur poids, leurs conditions physiques, leur consommation d’eau et leur apport en fluorure provenant de toutes leurs sources d’exposition, ceci afin de bien respecter la posologie,

9. été administré avec le consentement informé du patient sur la qualité non pharmaceutique et sur les risques du produit comme requis pour tout supplément de fluorure.



Grâce aux pétitions auprès du Vérificateur général du Canada adressées à Santé Canada et à une série de demandes d’accès à l’information, ni Santé Canada, ni les ordres professionnels y compris l’Ordre des dentistes du Québec, ni les Agences de la santé publique du Québec et ni le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec ne sont en mesure de fournir les preuves que les fluorures servant à la fluoration sont homologués, testés, contrôlés, sécuritaires, efficaces et que leur administration respectent l’éthique professionnel. NON HOMOLOGUÉ = NON SÉCURITAIRE.



Nous avons les preuves que les agents de fluoration ne sont ni homologués, ni testés, ni contrôlés, ni efficaces, ni sécuritaires pour la santé et l’environnement, ni économiques et ne respectent pas l’éthique.



Chers Docteurs de la Société dentaire de la Mauricie, administrer et promouvoir des médicaments non homologués constituent des actes illégaux et irresponsables. En êtes-vous conscients? Auriez-vous négligé votre devoir de professionnels de protéger la santé de vos concitoyens en vérifiant l’homologation et la légalité des agents de fluoration? Nous attendons les preuves du contraire.



Gilles Parent, ND.A.

Coauteur de «La fluoration : autopsie d’une erreur scientifique

Expert du Front commun pour une eau saine

mardi 19 octobre 2010

Un dossier noir dénonce Jean Tremblay

Le dossier noir de l'information municipale
La Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) publie un premier volet de son dossier noir de l'information municipale à Saguenay, qui serait l'une des villes au Québec où l'administration municipale s'attaquerait le plus aux représentants des médias, selon l'organisme.
La FPJQ a invité les journalistes de partout au Québec à parler de leurs relations avec les élus municipaux.
Dans le document de la section du Saguenay-Lac-Saint-Jean de la FPJQ, huit journalistes issus de différents médias de la région témoignent des difficultés vécues avec le maire Jean Tremblay.
Ils font état d'intimidation, de personnalisation des dossiers, et accusent l'administration municipale de nuire à la liberté de la presse.
Dominique Savard, une ex-journaliste du Réveil, raconte que la Ville de Saguenay a presque retiré sa publicité dans son journal pendant un certain temps après une discussion houleuse où le maire Jean Tremblay criait et a menacé d'appeler ses patrons à Québécor et de la faire « tasser de là ».
Un représentant du Quotidien, Louis Tremblay, a aussi été l'objet d'attaques personnelles du maire durant une conférence de presse. Jean Tremblay l'a accusé d'être négatif, d'être un opposant au développement de la ville et de la région et de ne chercher que les éléments négatifs dans les projets. Le journaliste le questionnait alors sur un projet de développement ferroviaire.
Extrait de propos tenus par Jean Tremblay lors d'une entrevue avec le journaliste du journal Le Quotidien, Pascal Girard, au sujet des coûts du quai des bateaux de croisière dans l'arrondissement de La Baie : « Là, tu veux me planter, je te vois venir, parce que vous n'avez pas eu votre contrat [de publicité]. Je le sais, le mot d'ordre est donné. On a fait ça comme il faut, faites attention vous autres parce que je peux t'avertir d'une affaire, il y a un avocat qui vous suit. »
Ciblé par le maire, le journaliste de Radio-Canada et président régional de la FPJQ, Michel Gaudreau, se défend de vouloir jouer le rôle de l'opposition. « Même s'ils ont voté à 80 % pour lui, ces citoyens-là veulent quand même être informés. Ils veulent savoir pourquoi leurs taxes ont augmenté de 16 %, ils veulent savoir combien coûtent leurs frais d'avocats. C'est légitime de savoir ça », explique M. Gaudreau.
De son côté, le journaliste d'Astral, Éric Arsenault, a déploré qu'un groupe de journalistes soit réduit à faire un dossier noir de l'information municipale pour faire respecter un des droits fondamentaux de la démocratie, la liberté de la presse.
La FPJQ constate que le maire est très disponible dans les médias tant qu'ils ne posent pas trop de questions. Sinon, Jean Tremblay les boycotte, comme il l'a fait avec Le QuotidienLe Réveil et plus récemment Radio-Canada.
Mercredi, la FPJQ publiait d'ailleurs un communiqué où elle invitait Jean Tremblay à cesser son boycottage. « Le maire se comporte en roitelet, et il entend régner sans partage, lit-on dans le communiqué. La FPJQ est outrée qu'un élu municipal se comporte comme si le droit du public à l'information n'existait pas et comme si nous ne vivions pas en démocratie. »
Le maire Jean Tremblay n'a pas rappelé Radio-Canada après la présentation de la FPJQ au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Sur les ondes du FM 98, il a qualifié le dossier noir de l'information de « mémérage de journalistes » et dit que son travail consiste à administrer la ville pour les citoyens et non pour les journalistes.